Tout d’abord, je pense qu’il est important de préciser que la sophrologie n’est ni une profession médicale, ni paramédicale. La sophrologie, si elle ne se substitue en aucun cas à la médecine, apporte aux patients , une aide non négligeable. Le médecin est là pour soigner ses patients et leur donner un traitement. Il prescrit, conseille et soigne.
Le sophrologue ne soigne pas, il apporte un soutien physique et moral à la personne en l’aidant à développer ses propres ressources.
La sophrologie, grâce à ses techniques psycho- corporelles que sont la respiration, à la détente et mobilisation neuro-musculaire, ainsi qu’à la visualisation permet :
Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive.
De plus en plus de médecins, conscients de ses apports, suggèrent à leurs patients de consulter un sophrologue en complément de leur prise en charge médicale. Nous entrons, grâce à la sophrologie, dans une nouvelle ère qui permet à chacun de reprendre le contrôle de sa vie et de sa santé.
Au plus la personne est actrice dans son traitement, au plus elle a des chances d’accéder à une guérison rapide ou à une rémission. Si la médecine donne les traitements, la sophrologie permet au sujet d’être en accord avec son traitement et d’avoir conscience que lorsqu’elle le suit, elle agit pour son bien.
La sophrologie est de plus en plus reconnue par le corps médical en tant que thérapie complémentaire à la médecine traditionnelle, la psychologie…
Elle permet, avec l’accord du médecin traitant, de réduire, pour certaines pathologies, les traitements médicamenteux (antalgiques, anxiolytiques, antidépresseurs…). Plus la personne est en accord avec ce qu’elle fait, moins elle vit de conflits intérieurs donc moins elle est en proie au stress ou à l’angoisse.
A ce moment-là, elle influe de façon positive sur ses symptômes et optimise l’effet du traitement.